Le pommeau dépasse de mon torse humilié
Plus rien ne coule là, plus de pouls familier,
J'enchaîne les poisses, je souffre le martyr,
De ce mal je suis las, cette épée je retire !
Pris d'un instinct guerrier, dans l'ombre je m'avance
A la haine marié, l'appel du sang je suis
Mon cœur, ce qu'il en reste, appelle à la violence
Bien qu'elle proteste, je veux la mort de lui.
Sans son existence, je vivrais l'idéal
A cette idée tu râles, invoquant ma clémence
Mais je haie sa présence, elle est pour moi fatale.
Écoutant tes dires, son image s'affine
La cible je dessine or je retiens mon tir
Respectant tes désirs devant lui je m'incline.