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Pensées personelles

  • Décrépitude

    Contrôler le monde, pour compenser de ne pas me contrôler moi-même.

    J'ai rencontré un Globalist dans mes lectures. Il ne se sentait vivant que lorsqu'il souffrait, regrettant l'être aimé perdu. Pitié, faites que je ne sois pas comme lui...

    Je ne me sens heureux qu'à la vue du bonheur des personnes que j'apprécie. Comme cela me rend triste de les voir essayer de me rendre heureux...

    Depuis que mes yeux ont quitté ton visage, mes expirations ne sont que des soupirs d'ennui.

    Le paradis attend les amants esseulés. Seule la mort salvatrice saura nous ôter notre amour.

    Parmi ceux qui me détestent, je suis celui qui encourage les autres.

    Plus je tente de me soigner par moi-même, plus je constate la grandeur de ma maladie. Dois-je porter mon fardeau les yeux fermés, ou tenter de vaincre cet peste, qui semble se nourrir des coups qui la visent?

    L'amour est un plat qui ne se digère pas.

    L'amant malheureux expire de ce qui l'inspire.

    La vie est plus comique sans MS.

    Nul besoin d'être ferme et cruel quand il s'agit de rendre justice, tant que l'illusion qu'il en est préserve votre royaume du crime.

    Loin de toi, je vis un enfer. Il ne faut point s'étonner que je devienne un démon.

    Je suis une grosse merde.

    Et d'une inspiration innée, je me rends compte d'avoir inventé la haine-propre.

    Qu'importe que l'on meurt, pourvu que l'on vive bien.

    Ah, si seulement l'Amour était une force comme les autres, comme ça elle aurait pu bénéficier du principe des actions réciproques...

    Quand je t'ai donné le choix entre me haïr et m'aimer, il fallait comprendre que ton indifférence me tue. En t'abandonnant, je suis alors monté sur l'échafaud, sans optique de redescende.

    J'arrive à vivre sans toi parce que je continue à vivre pour toi.

    J'ai une ambition telle qu'elle n'est propre qu'à nourrir un cadavre.

    T'ai-je indiqué une date de péremption, quand je t'ai déclaré mon amour? Tu comprendras donc qu'il n'y en ait pas.

    Peut-être t'abreuve-t-on de nouvelles à mon sujet, peut-être même que tu les demandes; ce serait bien cruel, de me priver ainsi d'une conversation qui m'est réservée. Mais si tel est le cas, sache que tu n'as jamais eu de vraies nouvelles de moi depuis que tu ne me parles plus. Tu es la seule personne qui sait dénouer ma langue de ses mensonges, je n'ai jamais plus été honnête depuis ton départ. Ma vérité me hante, seul.

    Je parle au vide... à une illusion... à un rêve... qui sait qui m'entend. Que ce soit toi, et toutes mes peines seraient taries. Que tu me répondes, et ce serait alors mon bonheur qui fleurit.

    Te repousser ne fais que me ralentir. Vivre pour être digne de ton désir est, au contraire, l'idée la plus puissante qui sache m'animer.

    Un monstre aspirant à l'amour de sa déesse. Je serais mort depuis bien longtemps, sans cet optimisme délirant. Je ne cesse d'appeler à la folie, mais le premier mot qui est venu de moi est définitivement celui qui convient : je ne suis qu'un crétin.

    Décadence, décrépitude... il est temps de passer aux antonymes. De se battre pour eux. De se battre pour toi. Le retour du phœnix présomptueux ! Un jour viendra où ses mots seront mes actes. Et ce jour, je prendrai le chemin qui mène à toi. 

    ## Bonus, qui n'a surement de sens que pour moi : 

    Clara: You. Now, you listen to me. You're going to be alone now, and you're very bad at that. You're going to be furious and you're going to be sad, but listen to me. Don't let this change you. No, listen. Whatever happens next... wherever she is sending you, I know what you're capable of. You don't be a warrior. Promise me. Be a Doctor.

    The Doctor: What's the point of being a Doctor if I can't cure you?

    Clara: Heal yourself. You have to. You can't let this turn you into a monster. So... I'm not asking you for a promise. I'm giving you an order. You will not insult my memory. There will be no revenge. I will die, and no-one else, here or anywhere, will suffer.

    The Doctor: What about me?

    Clara: If there was something I could do about that, I would. I guess we're both just going to have to be brave.

  • Décadence

    Et puisqu'il fallait en finir avec moi... Voilà donc la suite et fin d'un petit cycle de 4 jets de pensées, basés sur 4 idées principales, qui s'achève tel que l'on s'y attendait à son commencement. Toute prospérité amène son lot de décadence, tout exemple de l'histoire et de l'expérience vous le diront. Le jeu est de la repousser la plus loin possible dans notre futur, et lorsque l'inévitable arrive, se battre pour la prochaine joie, quoi qu'il en coûte. Il faut jouer, les enfants, il faut gagner, il faut perdre.

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  • Perspectives

    Les opus s'enchaînent à une de ces vitesses... Perspectives, j'observe le monde sous des angles novateurs; serais-je devant une brèche échappatoire? Serais-je en train d'avancer ? A moins que je ne recule ? Et puis, pour aller où, après tout ? L'errance continue...

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  • Divagations

    Deuxième opus de cette fascinante saga. Toujours aussi personnel, toujours aussi engagé, mais jamais raisonné. 

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  • Séparation

    Des paroles beaucoup plus personnelles dans cette publication; ne pouvant tout simplement pas garder cela pour moi, n'ayant personne avec qui le partager, je le laisse ici, ça doit en quelque sorte me faire me sentir mieux. Prenez le comme vous voulez, si ça peut aider, ça me fait plaisir. Au départ, je comptais en faire une pièce de théâtre, puis c'est rapidement parti en couilles; ce qui n'empêche que je repioche là-dedans au besoin. A mieux y réfléchir, cela constitue surement la suite interminable de ma copie de douleur.

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